mercredi 26 mars 2008

Un petit air de France…

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Ou de Françoise, qui nous a rejoint mardi 4 pour la découverte de Wellington pendant 10 jours. Mais, à notre grand malheur, le soleil nous avait lui quitté depuis un jour. C’est quand même pas de chance. Qu’à cela ne tienne, notre première visite avec la maman de Jibé sera celle du Pak’n Save ! Et oui, on vous l’a dit : on a la maison, la chambre, les colocs, mais un frigo vide !! Puis, nous sommes allés sur les hauteurs de Korokoro découvrir une vue encore plus chouette que celle du balcon (déjà splendide, le répétons nous assez ?). On finit notre première journée ensemble par un petit tour dans un restau asiatique où Françoise ressent les premiers effets de son décalage horaire…
Une bonne nuit de sommeil plus tard, nous partons à la découverte de la faune et de la flore néo-zélandaise au coeur de Wellington. Le Karori Wildlife Sanctuary regorge d’arbres fougère (de toute sorte et parmi elles, la célèbre Silver Fern), de Pohutukawas, de Kawakawas, de palmiers et de Rimus (pour les arbres) ; de tuis (l’oiseau chanteur), de pigeons « obèses » néo-zélandais, de wetas (l’insecte énorme qui heureusement pour nous dort dans une boîte avec une séparation de verre), de tuataras (un gros lézard), de kakas (des petits aigles), etc. Bref, de quoi se faire un bon aperçu de la nature Kiwi.

Pour connaître encore un peu plus le pays, rien de tel que la visite du Te Papa, considéré par la plupart comme LE musée du pays. On y apprend l’histoire des Maoris et des Pakehas à travers de nombreuses expositions d’artefacts et de reconstitutions de maraes. En sus, l’histoire géologique du pays situé sur une faille sismique (avec en prime la simulation d’un tremblement de terre dans une maison), de ses animaux mythiques (comme le moa, autruche géante chassée par l’aigle géant, disparus tous deux quasi en même temps), le fameux kiwi, les wetas, etc.
Mais le meilleur reste l’expo sur les baleines et assimilés. Il n’y avait qu’à voir l’entrée de l’expo pour savoir que l’intérieur serait à la hauteur : une porte de marae toute de bleue vêtue, ça vous met l’eau à la bouche. En quelques points, rien que pour vous, tout ce qu’on a pu apprendre sur ces impressionnants mammifères.

- Le terme « Whale » que nous traduisons par « baleine » a en fait une définition plus large que la notre. Les anglo-saxons distinguent deux types de whale, celles qui ont des dents et celles qui ont des fanons. Parmi les baleines à dents, nous retrouvons les orques et les cachalots qui, en réalité, ne se servent de leurs dents que pour se battre contre les autres males. Pour manger, ils avalent tout rond ! Les autres, vous les connaissez, ce sont les baleines, bleues, blanches, grises, à bosses…

- Les baleineaux naissent par la queue et sont poussés à la surface par leurs mères pour prendre leur première respiration. Ils sont ensuite allaités par leur maman ou toute autre femelle jusqu’à l’âge de 6 mois.

- Les baleines peuvent plonger jusqu’à 2000 mètres et rester sous l’eau 80 minutes sans respirer !

- La chasse à la baleine s’est arrêtée dans les années 70 en Nouvelle-Zélande et le pays est devenu l’un des plus fervents activistes dans la protection de ces animaux dont on ne connaît finalement que très peu de choses. Régulièrement, des protecteurs de ces géants escaladent les bateaux de pêche japonais pour protester contre les massacres qui perdurent…

- Les baleines sont en voie de disparition et récemment une variété de dauphins a encore disparu. Par exemple, les baleines s’échouent sur la plage quand elles se font piéger par les marées, quand elles avalent des sacs plastiques ou des produits toxiques dû à la pollution des mers, quand elles confondent les sonars des bateaux avec leur nourriture et finissent déchiquetées par les hélices de ces mêmes bateaux…

Bref, on a pu se rendre compte de la majesté de ces animaux et constater le manque d’éducation des entreprises occupées à faire du chiffre… Triste mais instructif !


Vendredi, en route pour le Botanic Garden et la rencontre avec les jardins à la néo-zélandaise ! Il n’y a rien à dire, ils ont la main verte ces Kiwis. Le jardin est très joli et présente des tonnes de plantes grasses qui poussent dans le gravier : c’est ça le jardin à la Kiwi. Tout en haut, nous avons un point de vue sympa sur la ville et le port. Juste avant de descendre au cœur de Wellington pour y faire un peu de shopping et prendre toutes les sculptures qui jalonnent les rues de la ville en photo. Pour ce faire, nous avons emprunté le Cable car, funiculaire en trois arrêts et à l’ambiance siècle passé. Une attraction à touristes dont on ne se passe pas.

Samedi, nous sommes allés à la rencontre de cet animal qui nous intrigue tant depuis notre arrivée en Nouvelle-Zélande, emblème croisé partout mais pour de vrai… jamais ! Alors, on s’est résigné et c’est au Zoo que nous avons fait la connaissance de Tahi le kiwi. Un kiwi, vous savez ce gros oiseau au plumage brun qui vit la nuit, ne vole pas et qui a un bec très long. Tahi fut non seulement notre premier « vrai » kiwi rencontré en Nouvelle-Zélande mais également le premier rencontré n’ayant qu’une seule jambe ! Tahi (« un » en maori) est unijambiste. Nous ne l’avons pas trop vu, tout le monde se pressant autour de la petite bête pour grappiller une photo mais c’était tout de même sympa d’en voir un, en vrai ! Au cours de notre balade, nous avons vu des kangourous (Australie voisine oblige), des Wallabies (des kangourous nains), des zèbres, des lions, des tigres, des oiseaux, des singes, des pélicans, des lynx, des reptiles, des araignées natives de NZ, brrr… des lémuriens (comme Timon de Timon et Pumba), un panda roux, des ours, des chauves-souris (roussettes, comme celles que tu avais mangé en Calédo papa), des girafes, des autruches… bref, de quoi s’extasier encore et encore ! Ah, et aussi des petites loutres particulièrement actives qui gigotaient dans tous les sens ! En rentrant, on s’arrête dans Petone, la petite ville située en bas de Korokoro, pour le festival annuel. De la musique, des enfants qui dessinent dans la rue, des artistes et des « Take-aways » partout ! Hum, les bonnes saucisses trempées dans le ketchup…

Mais revenons à nos moutons, euh nos Kiwis, euh… enfin, vous allez voir. La Nouvelle-Zélande, ses climats multiples et variés, ses côtes interminables, nous a donné l’envie de mettre le cap sur le détroit de Cook, entre les deux îles, pour un safari organisé afin d’aller voir des phoques se faire bronzer ! Trop bien ! On est parti en 4x4 vers les hauteurs de Wellington jusqu’au niveau de la seule éolienne de la ville, installée en exemple (il faut d’abord qu’ils s’habituent avant de trouver l’idée bonne). Wellington étant située au niveau des vents que l’on appelle les 40e rugissants, on se dit que ça pourrait amener un peu d’énergie tout ça… Ensuite, on change les pneus, ou du moins on met la Titine en 4 roues motrices et on descend vers le cap. La route, directement creusée à flanc de colline, est faite de graviers et plonge dans les eaux troubles du Pacifique, mêlant ses vagues à celle de la mer de Tasman (je deviens poète). Ce qui nous donne, d’un côté, la montagne et ses filets empêchant les pierres de tomber et, de l’autre, le vide. Au loin, la mer et, plus loin encore, la vue sur les côtes de l’île du Sud ! Le soleil est de la partie et les pierres qui roulent (« I can’t get no… ») font de notre trajet en 4x4 un sacré tour de manège. Le chauffeur l’a bien compris et, une fois arrivé sur la plage, il prend toutes les bosses qui se présentent à lui. Mais trêve de rigolades, nous sommes là pour voir des phoques et quand le guide/chauffeur/serveur de cafés nous explique la procédure à respecter pour approcher un phoque, on écoute attentivement. Pas à moins de 20 mètres et on ne fait pas trop de bruit. C’est donc avec douceur que nous les observons se prélasser, ne bougeant que de quelques centimètres pour changer l’orientation de leurs corps face à la course du soleil, plongeant parfois « lentement » pour se rafraîchir et jouer dans l’eau. Ils sont mignons, et surtout très gros. Bien loin du petit et tout mignon Bibifoc que nous connaissons bien. Ils sont gros, gris, moustachus et lents. Mais c’est génial de pouvoir les approcher en pleine nature. On ne les dérange pas, on ne leur fait aucun mal, c’est à peine s’ils nous remarquent. Et si c’est le cas, ils ont l’air de s’en f… complètement.

Lundi, jour d’essai pour nous deux au Parlement, donc peu d’activités prévues, si ce n’est l’ascension vers le Mont Victoria (en voiture) pour un aperçu panoramique de la ville. On s’amuse à « trouve la maison de » et Jibé y perd son sens de l’orientation… et découvre que Wellington n’est en fait pas vraiment sur la mer mais dans une baie. On s’aperçoit aussi que les avions sont gros, euh… non, ils sont juste très près de nous lorsqu’ils survolent la ville avant d’atterrir sur l’aéroport situé à 5 minutes du centre en voiture.

Mardi, on est déjà en mal du Parlement ! Non, j’rigole. Mais ce n’est pas parce qu’on y a bossé 4 heures qu’on le connaît par cœur ! Petit détour en trois immeubles et une visite guidée d’une heure pour nous aider à mieux nous repérer dans cet immeuble et donne l’occasion à Françoise de connaître notre QG pour les prochains mois… Le bâtiment principal, surnommé la « Beehive » car l’immeuble fut conçu en forme de ruche, en jette pas mal. Non seulement par le nombre de gars de la sécurité mais par la classe qui se dégage de cet immeuble très aéré et éclairé, sans pour autant être tape-à-l’œil. Ce premier immeuble héberge l’exécutif, donc le gouvernement dans son intégralité, ainsi que leurs staffs et le staff de Bellamys, la société qui nous emploie… Egalement deux salles de réception, les cuisines et mon petit Café. L’immeuble d’à côté (le bâtiment historique) abrite le Parlement à proprement parler, c’est-à-dire l’ensemble des députés (et leurs bureaux) ainsi que l’hémicycle (qui n’en est pas un puisque la salle est rectangulaire, à l’anglaise). Nous avons pu visiter, en fin de session, rien de spectaculaire. Il y a aussi l’ancienne chambre haute, l’équivalent du Sénat ou de la Chambre des Lords en Angleterre… sauf qu’elle n’existe plus depuis une cinquantaine d’année ici. Les Kiwis avaient bien compris que le Sénat ne servait plus vraiment à rien (surtout que leurs sénateurs étaient nommés, non pas élus) et ils s’en sont donc tout simplement débarrassé ! La salle ne sert plus qu’une fois tous les trois ans lors de la cérémonie de formation de chaque nouveau gouvernement (eh oui, tous les trois ans les élections ici). Et en présence de la Reine (ou de son représentant le Gouverneur général de Nouvelle-Zélande)… Mais pas d’Elizabeth pour nous. Par contre, sans le savoir, nous venions de croiser une bonne partie des ministres et députés qui quittaient la salle de l’assemblée. Mais c’est trop bête parce que, nous, les politiques Kiwis, on ne les connaît pas ! Enfin, pas encore ! Dernier bâtiment à visiter, la Bibliothèque du Parlement. Pas vraiment partie intégrante du complexe mais rattaché à celui-ci. D’autant plus que c’est certainement le plus joli, avec ses allures d’église ! Le troisième véritable bâtiment s’appelle Bowen House est regroupe tout l’administratif… Mais, comme vous pouvez l’imaginer, rien de bien intéressant à visiter par là-bas ! Enfin, rien que pour vous, en exclusivité (car ça n’est pas montré au public), il faut savoir que le Parlement possède une salle de gym, une piscine et une garderie. Parmi les petites cocasseries, il y a aussi une poste et une salle réservée aux partenaires, époux et épouses des parlementaires… (NB : cette section sur le Parlement vient d’être entièrement réécrite par Jibé, Lulu ayant encore un peu de mal à se repérer et à bien savoir quel bâtiment abrite quoi…)

Afin de compléter notre culture générale sur l’histoire de cette ville désormais nôtre, nous nous sommes rendus au musée de Wellington. Il retrace, entre autres, l’histoire de la ville et de ses habitants en 100 anecdotes, une pour chaque année de 1900 à nos jours.

Exemple n°1 : Nous vous avions déjà parlé du fameux dessert Kiwi : le Pavlova. Les Néo-zélandais et les Australiens se battent depuis des années quant à l’origine géographique de ce gâteau plein de sucre. Le musée nous apprend que le cuisinier Jack Stevens fut tellement époustouflé par la performance de la ballerine russe Anna Pavlova en 1926 qu’il conçut un dessert évoquant la légèreté et les froufrous du tutu de la danseuse. La recette fut inscrite en 1929 dans le livre de cuisine kiwi de référence The Mother’s Union Cookery Book et 6 ans plus tard, en 1935, les Australiens présentèrent le Pavlova comme invention originale Aussie.

Exemple n°2 : Wellington, qui compte (banlieue comprise) environ 250 000 habitants, regroupe 50 000 habitants originaires des îles du Pacifique selon la répartition suivante : environ 20 000 Samoans, 9000 Fidjiens, 6500 des îles Cook, 6000 des Tokelau (rappelez-vous les destinations tendances…), 2000 des îles Tonga et 1300 Nuieans.

Exemple n°3 : Le musée raconte l’histoire du naufrage du Wahine, une catastrophe récente et douloureuse pour les Wellingtoniens. Le ferry qui faisait le lien entre l’île du Nord et l’île du Sud rencontra un orage en arrivant dans le port de Wellington le 10 avril 1968 (Bon anniversaire tata Valérie). Il perdit d’abord son radar puis se dirigea vers une barrière de récifs, ce qui détruisit le moteur et le gouvernail. De plus, 4 des 8 bateaux de sauvetage étaient usés et donc inutilisables. En totalité, 51 personnes perdirent la vie.

Rassasiés par tant de connaissance mais affamés, nous nous sommes dirigés vers un formidable petit restau Maori où nous avons passé une chouette soirée. Dégustation de bières artisanales maoris (la Tuatara et la Taa Kawa), de morceaux de pain maison à tremper dans des dips (pesto, crème, huile), suivis par un plat de poisson (Tarahiki) et d’une galette de kumara le tout cuit à l’hangi, c'est-à-dire à l’étouffé. Ce qui nous donne un bon mélange de tradition et de modernité. En dessert, rien que pour vous faire saliver, un gâteau au chocolat pour Jibé, une crème au citron pour Françoise et une tarte à la kumara pour moi, l’ensemble accompagné de glace et de cacao saupoudré pour former le dessin d’une fougère, trop bien !!

Mercredi, on prend la voiture direction la Kapiti coast par une route de montagne bien pourrie avec quelques opossums écrasés pour l’ambiance. Pique-nique sur la plage avec la vue sur l’île de Kapiti, ramassage de coquillages et dégustation d’une glace de notre glacier préféré à Paraparaumu. Vous savez, nous vous l’avions raconté, nous étions allés déguster une formidable glace avec Justin, la terreur et sa famille !! On s’installe, on choisit nos parfums, Françoise découvre avec bonheur la glace au cheesecake et surtout quelqu’un qu’on aurait bien choisi d’éviter… Justin !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Il fait son grand retour ! En même temps, on l’a cherché. On va chez son glacier préféré, un mercredi après-midi, alors forcément tomber sur lui et sa maman, c’était déjà une grosse erreur tactique. Mais au fou rire que ça provoque chez Françoise, finalement c’était bien sympa. Assez sage mais rattrapant sa mère en pleine discussion avec nous, d’un « bon, une glace ! », on se dit qu’il ne nous manque pas, qu’il ne nous a jamais manqué et qu’il ne nous manquera jamais ! Pour le retour, on laisse le volant à Françoise, ce qui repose Jibé sachant que Lulu n’a franchi qu’une fois le grand pas… sur la plage !!! On est rentré sains et sauf : conduite à gauche, priorité à droite, on ne l’a lui fait pas à Fançoise, elle a maîtrisé la Titine !

Jeudi, on ne fait rien de spécial, on fait un petit tour de l’autre côté de la baie de Wellington, sur le front de mer de Petone et on rencontre ce qu’on pensait être des petits pingouins bleus… qui n’en étaient pas mais qui, pour nous consoler, étaient très beaux ! Comme oiseaux ! Mais bon, des kiwis, des phoques, des oiseaux… On ne peut pas tout avoir et ça nous remplit déjà bien la tête de souvenirs sympas. Et si vous ne nous croyez pas, faites un tour sur le site des photos !!


Ps : Un p’tit bisou à ma Delphine et ma Karine, fidèles lectrices ! Z‘avez vu, je m’installe enfin !

Pps : A nos collègues globe-trotter ! Les chiens ont effectivement déserté notre vue depuis que nous sommes à Wellington mais on ne va pas s’en plaindre… Vous dîtes êtes passés par les mêmes hôtes que nous ? Mais lesquels ?? Et pour l’île du Sud, si on se tue au travail c’est pour y passer du bon temps. Message reçu pour la côte ouest, on a deux Woofeuses hollandaises en éclaireuses mais c’est sympa d’avoir des conseils. Thanks mates !

4 commentaires:

Aude et Nicolas a dit…

Hello buddies !

Quelle joie de vous savoir préparer soigneusement votre "transition sudiste" en accumulant un petit pécule qui devrait vous permettre d'arpenter la glace, de nager avec les dauphins et SURTOUT de vous faire une (ou plus si affinité) bonne marche (allez, haut les coeurs les marcheurs, c'est toujours le premier pas qui compte ! Vous ne le regretterez JAMAIS ! Les plus beaux des trésors se méritent et ce pays en regorge) : à vous Heaphy, Abel Tasman, Routeburn, Kepler et autres Milford Sound. Un conseil tout de même : armez vous d'un bon "repellent" contre ces damned sandflies : elles vous pompent le sang jusqu'à l'anémie et transforment les chairs en oedèmes digne d'un éléphantiasis !!!

Sinon, puisque vous avez dix jours à "exploiter", passez donc du côté des Putangirua Pinnacles. Ce sont de grosses orgues naturelles érodées par les pluies diluviennes du détroit. C'est à deux bonnes heures à l'Est de Wellington, mais ça vaut le détour (et la route du détour vaut, elle aussi, le détour!!!)...

Prenez soin de vous.

A&N.

ps : le kaka n'est pas un aigle, camarades ornithophiles, c'est un bon vieux perroquet. On vous souhaite d'ailleurs de les croiser, lui et son ami le Kea, dans l'sud (ben voui, le Sud, on en est casse-pieds à force!).

printanières bises bretonnes.

Aude et Nicolas a dit…

Ah oui, au fait, on est passé chez Marianne, Gabriel et Brinco-le-chien-fou nous aussi (Aude a commis les bordures des jardinières et Nico a régulièrement humilié Gabi' au basket).

Si vous cherchez des adresses sur le sud, n'hésitez pas à nous écrire (y compris si vous voulez éviter certains lieux de perdition!) sur nico.aude@hotmail.fr.

Cheers and Greet's

A&N.

Anonyme a dit…

PLEINS DE BISOUS POUR TOI AUSSI MA P'TITE MATHI. C'EST SUPER CE QUE VOUS FAITES A L'AUTRE BOUT DU MONDE. QUELLE CHANCE! PROFITEZ-EN BIEN. BISOU DE FRANCE, ALEX.

Anonyme a dit…

AU FAIT, CA A L'AIR COOL VOUS ALLEZ BOSSER AU PARLEMENT. C'EST IMPRESSIONNANT ET SUREMENT PLUS INTERESSANT QUE SERVEURS DANS UN RESTO. C'EST BIEN POUR VOUS! KARINE