Retour donc sur nos derniers instants de vie néo-zélandaise en possession d'une Nissan Sentra de 1990. On désespérait sérieusement et 7 jours plus ou moins intensifs de tentatives de vente infructueuses avaient réussi à saper notre moral. C'était même assez résigné que votre Jibé national s'était rendu, ce dimanche, au Car market. Et vous l'avez remarqué hier, en début d'après-midi, la résignation était de mise. Nous avions bien un potentiel acheteur Allemand venu la veille mais il n'est pas revenu, détruisant par la même occasion un moral déjà bien bas.
Soudain, apparaît un curieux. Un de plus, se met-on à penser amèrement. Il me demande si je suis propriétaire de l'endroit, je lui réponds que je ne suis que propriétaire d'une voiture, que j'essaye d'ailleurs de vendre depuis quelques jours. Ne sait-on jamais, il faut tenter sa chance à chaque fois... Bingo ! Il demande à la voir, s'intéresse comme jamais aucun acheteur potentiel ne s'est intéressé, pose des questions intelligentes, demande à voir l'intérieur. Il a un budget de $1.500, c'est moins que le prix affiché mais plus que ce qu'on a jamais espéré. Je lui propose un petit tour de Titine, dans l'espoir que le doux ronflement du moteur finira de le convaincre. Et après 5 petites minutes, toujours au volant de notre Titine, il m'annonce : j'achète ! Yiiiihaaaa ! Le deal parfait !
En résumé : un acheteur Irlandais sympa, intelligent et décidé, un prix parfait pour lui comme pour nous et un joli dimanche ensoleillé qui se termine bien ! Que demander de plus ?
Demain, on vous livrera la suite des vacances en compagnie de Papa et Sonia (soit un petit retour en arrière) et, quelques jours plus tard, la troisième et dernière partie. Ensuite, on reviendra au présent, Christchurch et nos deux derniers Wwoofings. Sur ce, bonne rentrée à tous et on vous laisse avec la pensée du jour...
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La pensée du jour reste dans le thème puisque, bien qu'applicable à tout type de situations, elle concerne la vente de notre Titine. Et elle est signée Jibé : « Il ne faut jamais perdre espoir. Il suffit d'une occasion, d'une personne ou d'un instant. »
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La photo du jour nous rappelle les rues de Wellington. Nous y avions fait cette surprenante découverte... Mais qu'a-t-il bien pu se passer ?
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